Les multinationales ont toutes dégraissé leur portefeuille de marques à tour de bras. Dans certains cas avec raison mais aussi, avouons-le parfois par manque d’imagination ou de vision. Une marque n’est pas un mot que l’on raie d’un trait sur un compte d’exploitation ; c’est une histoire que l’on éteint…ou que l’on vend. Et quand on sait le temps qu’il faut pour en créer une…Procter & Gamble vient de reconnaître son erreur qui l’a amené à se séparer de belles marques comme Monsavon et Pétrole Hahn, jugées trop locales ! Manque de chance, le vent à tourné et le consommateur réclame du local, de la proximité. A qui le tour, maintenant ? Nestlé, Danone ?